La L-théanine : un modulateur de l’équilibre nerveux.

La L-théanine est un acide aminé présent dans le thé vert, notamment le gyokuro (thé vert japonais). C’est la L-théanine qui donne le goût « umami » aux infusions de thé vert ou au matcha (feuilles de thé vert finement broyées). C’est un modulateur naturel de l’équilibre nerveux qui exerce une action sur plusieurs neurotransmetteurs (messagers chimiques des neurones) impliqués dans le stress, l’attention et la régulation émotionnelle.

Les fibromes utérins (ou myomes) sont les tumeurs bénignes les plus fréquentes chez la femme. La plupart des fibromes sont asymptomatiques et ne nécessitent pas d’intervention. Mais pour 25  à 30 % d’entre elles, ils peuvent être associés à un risque accru de ménorragie, de dysménorrhée, de douleurs pelviennes chroniques, de compression des organes environnants (comme la vessie), de rapports sexuels douloureux, d'infertilité, de fausse-couches à répétition, d'accouchements prématurés et/ou d'anémie.

Boire du thé vert et tout particulièrement du matcha (feuilles de thé vert entières finement broyées) ce n’est pas seulement s’accorder un moment de calme :  c’est aussi faire un choix bénéfique pour sa santé. Derrière sa saveur végétale et légèrement astringente, cette boisson millénaire cache une richesse exceptionnelle en composés actifs, aux effets bien documentés par la recherche scientifique.

Deux d’entre eux méritent une attention toute particulière : la L-théanine, et  l’EGCG (épigallocatéchine gallate), une catéchine phare du thé vert.

Qu’est-ce que la pré-ménopause?

La pré-ménopause est une phase de transition qui précède la ménopause et peut durer entre 4 et 10 ans. Elle commence généralement autour de 40 ans, mais peut survenir plus tôt chez certaines femmes. Cette période se caractérise par des fluctuations hormonales marquées, notamment une diminution progressive de la production d'œstrogènes et de progestérone par les ovaires…

Le saviez-vous ? La ménopause serait un atout évolutif!

Si la ménopause peut sembler être une étape difficile, elle pourrait en réalité être un avantage évolutif essentiel ! La "théorie de la grand-mère" suggère que l'arrêt de la reproduction chez la femme aurait permis d'assurer la survie des jeunes générations et de renforcer la cohésion sociale.

Contrairement à la majorité des mammifères, chez qui les femelles meurent peu après la fin de leur vie reproductive, l'humain (et quelques espèces comme l'orque) fait exception…